Conseils




Les oiseaux au jardin :
Les oiseaux sont sympathiques, ils sont aussi utiles bien souvent mais certains peuvent causer des dégâts. C'est un problème d'espèce, de nombre et de saison, donc de conscience écologique des aspects du problème.
Il n'y a pas de problèmes pour les petits passereaux : mésanges, pinsons, rouges-gorges, moineaux, hirondelles, sittelles, troglodytes, fauvettes, pouillots.
.. Ils se nourrissent d'insectes, de graines, de vers.
Mais ce régime alimentaire est sans nuisance pour le jardinier : il est même plutôt utile. 
Il est toutefois à noter que, parmi les insectes recherchés et consommés, il peut y avoir des coccinelles, des syrphes et autres auxiliaires précieux de nos jardins car l'oiseau ne fait pas la distinction et c'est un fait naturel qu'il faut accepter.
Mais ces oiseaux sont de bons compagnons du jardinier. Non seulement il faut les accepter comme ils sont, mais il faut les protéger et les favoriser, en particulier par la pose de nichoirs appropriés, lorsqu'ils sont cavernicoles, ou par la présence de haies et bosquets, s'ils se reproduisent par nids à l'air libre (dans les branchages ou au sol)...



Les oiseaux à problèmes sont les gros passereaux (pies, étourneaux, grives, merles...) et les colombidés (pigeons et tourterelles). Ces oiseaux sont certes agréables à voir, ils ont aussi quelques aspects utiles par leur régime alimentaire, au moins à certaines époques de l'année, mais ils peuvent faire beaucoup de dégâts :

- consommation des petits fruits du jardin (fraises et groseilles), grattage des semis,
- consommation des jeunes pousses (ex. : cotylédons des pois et haricots à la levée des graines, donc élimination du germe).


Il n'y a qu'une solution : il ne faut pas les détruire, mais s'en protéger. 

Le meilleur moyen est sans conteste, la pose de filets au dessus des semis et cultures, filets soutenus par des arceaux ou autres supports_
 C'est évidemment un travail supplémentaire et parfois une difficulté pour la cueillette (par exemple dans le cas des fraises), mais c'est à la fois la bonne protection du jardinage et la conservation du voisinage de nos amis les oiseaux.
Les filets peuvent servir de nombreuses années si l'on en prend soin, le coût en est négligeable dans le bilan global.












Par réflexe ou habitude, vous jetez systématiquement l'eau de cuisson de vos aliments dans l'évier. Pourtant celle-ci possède de nombreux bienfaits et peut-être utiliser aussi bien en cuisine que pour votre santé, bien-être ou pour l'entretien de la maison et du jardin.

Pour éviter de gaspiller, découvrez en 10 astuces économiques et écologiques comment réutiliser vos eaux de cuisson avec CuisineAZ promo.
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 Penché sur votre évier, vous vous apprêtez à jeter l'eau dans laquelle vos légumes ont cuit. Stop ! Attendez qu'elle refroidisse puis mettez la dans un récipient au frigo. Il ne vous reste plus qu'à agrémenter ce bouillon délicieux et plein de parfums selon vos goûts.

Selon le même principe, n'hésitez pas à stocker dans votre réfrigérateur dans une bouteille l'eau de cuisson de vos légumes riche en nutriments. Voilà une boisson énergisante 100% naturelle parfaite pour vous rebooster !

 Lors d'une cuisson à blanc des champignons (essentiellement les champignons de Paris) , ne jetez pas l'eau de cuisson de cet aliment. Elle est particulièrement riche en goût et en nutriments et est parfaite pour parfumer des sauces, des soupes et des plats mijotés sans ajout de matières grasses. Pensez également à l'utiliser lors de la préparation d'oeufs brouillés.
  A la recherche d'un détachant pour linge écologique ? Utilisez l'eau de cuisson de vos haricots blancs en veillant à ne pas saler l'eau. Cette dernière est efficace pour enlever les tâches sur vos vêtements délicats en laine ou en soie.

Toujours rayon linge, sachez que l'eau de cuisson des épinards utilisée en eau de lavage se révèle efficace pour raviver vos habits noirs en laine.

 Si vous consommez des légumes bio non traités, n'hésitez pas à utiliser l'eau de cuisson (non salée et une fois qu'elle a refroidi) de vos légumes pour fertiliser vos plantes sans effort et de manière écologique. Vous économisez ainsi de l'eau et utilisez les nutriments de vos légumes pour vos plantations.


 Saviez vous que l'eau de cuisson des oeufs, chargée en nutriments (calcium et autres éléments présents sur la coquille), est un engrais organique efficace ? Veillez à ne pas saler votre eau car le sel n'est pas assimilé parfaitement par les plantes. Plus besoin d'acheter un engrais chimique, vous pouvez arroser vos plantes d'intérieur avec l'eau de cuisson de vos oeufs.
 En égouttant vos spaghetti, penne ou coquilettes, ne jetez pas toute l'eau dans laquelle elles ont cuit. En effet l'eau de cuisson des pâtes est un très bon liant pour des sauces ou pour des potages. Il est conseillé par exemple d'en ajouter dans la sauce carbonara. Plus globabelement, cela remplace avantageusement beurre, crème et autre ajout de matières grasses. Economique et light !
 La pomme de terre est souvent dans vos menus car elle est facile à préparer et elle est la base de plats très différents et très économiques. Saviez-vous qu'elle a l'avantage en plus de dégraisser avec efficacité ?

Non seulement l'eau de cuisson de vos pommes de terre dégraisse en un temps record le sol de votre maison mais elle redonne de l'éclat à un carrelage un peu terne. Versez au sol votre eau encore chaude, frottez avec un balai-brosse puis laissez agir pendant 10 minutes environ. Rincez ensuite avec une serpillère.
 Les allées de votre jardin sont envahies de mauvaises herbes ? Avant de courir acheter un produit spécial, pensez à utiliser l'eau de cuisson de vos pommes de terre ou de vos pâtes très efficace pour désherber. Attendez que l'eau soit refroidie et versez la sur les dalles de votre allée.
 Vous venez de faire cuire des dés de rhubarbe en prévision d'une compote ou d'une tarte maison ? Ne vous débarassez pas de l'eau de cuisson, elle est efficace pour nettoyer l'argenterie. Il suffit pour cela d'imbiber un chiffon de cette eau de cuisson et de frotter. Cette astuce fonctionne également avec l'eau de cuisson de l'oseille, des épinards et des pommes de terre.
L'eau provenant de la cuisson du riz est connue pour être utile en complément de traitements classiques contre les diarhées et les irritations de l'intestin en raison de sa concentration en amidon. Pour éviter le maximum d'évaporation, couvrez bien votre casserole. Cette eau de riz peut être bue avec un peu de miel ou de sucre.



 
conseils des jardins familiaux








   Calendrier lunaire 08/2014






















Taille du kiwi

Dès l'année de plantation, rabattez le scion afin qu'il se renforce. C'est à ce même moment qu'il faut prévoir un tuteur pour que la pousse soit bien guidée vers le ciel.
En fin d'hiver, si la pousse lors de la végétation est suffisante, rabattez-la à 2 m du sol. retenez 2 belles pousses qui seront les futures charpentières, faites-les courir sur un fil central, une à droite, une à gauche. C'est sur ces deux charpentières que les cannes de fructifications vont pousser.
En février, sélectionnez des cannes fructifères qui démarrent sur  les charpentières, arquez-les distançant de 30 à 40 cm. Les années suivantes, éliminez les cannes qui auront produit et conservez celles qui se sont développées au printemps dernier.
En été, la taille en vert sur le kiwi à pour but de contenir un peu la végétation de cette liane vigoureuse et d'augmenter le calibre des fruits. La bonne période est le mois de juillet lorsque les fruits ont la taille d'une noix, couper l'extrémité des rameaux porteurs de kiwis au-dessus de la 4ème feuille après le dernier bouquet de fruits.
L'éclaircissage permet d'obtenir des fruits d'un calibre correct et souvent plus gustatifs. Ce travail est fortement conseillé les années où les arbres sont trop chargés afin d'éviter l'alternance, phénomène naturel (une année à fruits, l'autre à bois).

Ce qu'il faut faire en décembre
Travaux au jardin
Par Sébastien Jacquot du magazine Petit Jardin


Si les grands froids de l'hiver nous ont épargné le mois dernier, c'est sûrement en décembre qu'il va falloir s'en méfier. Il est l'heure de veiller à ce que nos végétaux puissent passer les froids prochains sans craindre les nombreuses péripéties qui les guettent. Mais que dire de ces hivers que redoutent bon nombre de personnes si ce n'est de les glorifier par la beauté qu'ils donnent à nos paysages. 


Au potager
L'hiver vous aidant par ses gelées à éliminer les herbes indésirables qui subsistent encore, aidez-le à nettoyer votre jardin qui n'en sera que mieux préparé pour les futurs semis et plantations. 
  

Profitez de cette période pour apporter de la fumure et labourer le terrain. S'il vous reste certains légumes en terre et que vous ne pouvez les ramasser faute de place pour les conserver, protégez-les par un tapis de paille ou de feuilles mortes. Côté semis, il est encore temps de mettre en terre épinards et laitues de printemps. 

Au verger
Tout comme novembre était propice à la plantation des arbres fruitiers, décembre l'est aussi. Veillez cependant à ne planter vos sujets qu'en période hors gel. Décembre est le mois idéal pour la taille des arbres à pépins tels que pommiers et poiriers. Taillez vos arbustes à petits fruits tels que groseilliers et cassissiers. L'entretien de vos arbres et arbustes fruitiers est essentiel en hiver pour qu'ils puissent retrouver leur pleine rigueur au printemps prochain. Retirez la mousse du tronc et commencez les traitements d'hiver. Apportez de la fumure aux pieds. 
  Au jardin d’ornement
Le froid n'épargne rien, pas même les plus belles fleurs aussi parfumées soient-elles. N'oubliez pas de protéger vos plantes de massif par un paillage qui les aidera à passer les jours de froid sans le moindre mal. Apportez du compost aux pieds de vos rosiers et autres arbustes à fleurs. Profitez de cette dernière période pour mettre en terre vos bulbes de tulipes, jonquilles et narcisses. Ha !... Ne vous imaginez-vous pas déjà les voir fleurir à l'arrivée du printemps ? Rien de tel pour se donner du courage. 

Plantes d'intérieur et de balcon
Veillez sur vos plantes d'intérieur, bien qu'elles soient à l'abri du froid, elles ne sont pas pour autant à l'abri de la sécheresse, ne les oubliez pas, pensez donc à les arroser, mais surtout sans excès. Ne les disposez pas non plus trop près d'une source de chaleur en pensant qu'elles passeront mieux l'hiver, il n'en est rien. 

Les arbres, arbustes et haies
Protégez vos arbres et arbustes les plus sensibles du froid qui les menace, soit en les enveloppant d'un voile d'hivernage pour les plus petits, soit en veillant à protéger les sujets les plus imposants en isolant la base de leur tronc avec de la paille ou du feuillage. Profitez des jours hors gel de décembre pour faire de nouvelles plantations. Entretenez-les en taillant leur bois mort et autres branches devenues trop importantes, vous pouvez également continuer à tailler vos haies. 


Trucs & Astuces


Encore une autre astuce contre les limaces : les bogues de châtaignes et leurs épines !
Recyclez les cendres... - Trucs & Astuces
Ne jetez pas les cendres de bois de votre cheminée. En effet, elles contiennent potasse, calcium, oligo-éléments et phosphore. Rien de tel, pour doper gratuitement les vivaces avant le printemps et alléger les terres lourdes. Épandez-en une poignée autour des touffes. La cendre empêche aussi les limaces et escargots d'approcher des plantes sensibles.
Disposez des pièges répulsifs auprès des plantes sensibles aux gastéropodes: pour ce faire, découpez des carrés dans un film aluminium et placez au centre une tranche de concombre. La réaction du suc de ce légume avec l'aluminium dégage une odeur qui fait fuir ces indésirables.
Lorsque vous employez des granulés destinés à lutter contre les gastéropodes, inutile d'avoir la main lourde. Distancer chaque granulé bleu de 10 cm s'avère en effet nécessaire et suffisant
Gardez les coquilles d'oeufs ! Disposez autour de vos plantes (surtout les plus jeunes !), cibles préférées des limaces et escargots affamés, un collier de coquilles d'oeufs. Concassez-les bien et disposez-les en cercle autour du pied. Ce collier de coquilles agira comme une barrière infranchissable sur ces gastéropodes bien gênants !




 (Une recherche sur le web et parue sur Rustica

Qu'est-ce que la lune rousse - 

Rappelons-le : la lune rousse n’est pas rousse !
Cette dénomination désigne en fait une période – et non pas un aspect de l’astre –, qui correspond à la lunaison qui suit la date de Pâques, c’est-à-dire en avril, et se termine à la fin du même mois, ou en mai. Son appellation provient de l’aspect pris par les jeunes pousses des végétaux qui, à cette période de l’année, sont souvent brûlées par une gelée dévastatrice au cours de la nuit ou au lever du soleil. Les feuilles et les tiges présentent alors un aspect roussi.
La lumière que nous renvoie la lune n’est pour rien dans ce phénomène saisonnier, remarqué par plusieurs générations de jardiniers et d’agriculteurs.
Au début du printemps, le ciel se dégage souvent la nuit, rendant la lune visible – d’où les croyances sur les effets de sa lumière. La chaleur emmagasinée par le sol dans la journée rayonne et se diffuse alors très rapidement dans cette atmosphère dégagée, faisant chuter brusquement les températures. Tendres et gorgées de sève, les jeunes pousses sont beaucoup trop fragiles. Même si elles ne gèlent pas toujours, elles subissent un choc thermique important car la différence de température entre le jour et la nuit peut dépasser les 10 °C.


Soyez vigilant !

Plus l’hiver qui précède la lune rousse a été long et froid, plus la terre tarde à se réchauffer au printemps.

Les gelées printanières sont plus fortes et les dégâts dans le jardin s’en trouvent accentués, sauf si vous prenez vos précautions. Tout au long de cette lunaison, dès que la nuit s’annonce claire avec un ciel bien dégagé, les risques de gel deviennent plus importants. Ils le sont encore plus quand un vent léger souffle, car ce dernier amplifie l’intensité du froid nocturne. Dans les régions où il gèle, la prudence conseille de ne pas installer les plantes frileuses (géraniums, pétunias, impatiens, tomates, poivrons, pommes de terre, etc.) tant que cette lunaison n’est pas terminée. Si la douceur de la météo vous a quand même incité à tout semer et planter, posez alors un voile de forçage, une cloche ou un tunnel en plastique sur les plantes gélives afin de les protéger pendant la nuit.

Les dates de la Lune Rousse 2013

En avril 2013 la Lune Rousse, ou lunaison, débute le 10 avril et se termine le 9 mai.

Par  



Planter les bisannuelles

Lorsque les fleurs d’été ont perdu de leur éclat, il est temps de penser au décor du prochain printemps. C’est le moment de planter les bisannuelles qui fleuriront généreusement massifs et jardinières dès les premiers beaux jours. Quelques gestes simples vous permettront de réussir leur plantation, ce qui est la promesse de belles floraisons.

Des fleurs de mars à juin

Plantation de bisannuellesLes bisannuelles (lire : Les bisannuelles) sont traditionnellement semées de juillet à août, plantées en automne et elles fleurissent au printemps de l’année qui suit. Pensées, pâquerettes, giroflées, cheiranthus sont les plus populaires mais la lunaire (ou monnaie du pape), le myosotis à la belle floraison bleue, les campanules medium ou l’oeillet de poète qui fleurit tardivement sont aussi des valeurs sûres. En les associant, il est possible d’avoir des fleurs pendant tout le printemps.

Le bon moment

La plantation peut commencer dès la mi-septembre mais à cette époque les annuelles sont souvent resplendissantes. Mieux vaut attendre la première quinzaine d’octobre ou même la seconde en climat doux, la terre est encore chaude et fraîche grâce aux pluies d‘automne, cela permet une bonne reprise. Dans tous les cas, l’enracinement doit se faire avant les premiers froids.

Préparer le terrain et les plants

Trempage des godets dans une bassineAprès avoir arraché les plantes annuelles si possible lorsque le sol n’est pas trop humide pour ne pas enlever trop de terre de surface, travaillez le sol à la bêche ou à la grelinette (lire : Connaître les outils pour travailler le sol) en incorporant un engrais organique riche en potasse ou un peu de compost mûr tamisé.
  • Eliminez soigneusement cailloux et mauvaises herbes.
  • Griffez pour affiner la terre et niveler.
Si vous avez semé vos bisannuelles en pépinière ou en caissette, arrachez-les délicatement en conservant une motte autour du plant. S’il s’agit de plants en pots de tourbe, ceux-ci doivent être bien humides. Les plants achetés en godets seront mis à tremper quelques minutes jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de bulles d’air. Laissez le surplus d’eau s’écouler avant de les planter.

Disposer les plants

Myosotis Tapis de myosotis
Posez les godets ou les plants sur le sol en respectant une distance de 25 à 30 cm de façon à ce que chaque plante puisse se développer sans être concurrencée par sa voisine. Vous jugerez ainsi plus facilement de l’effet produit. Si vous les plantez en massif, constituez de petits groupes de chaque variété en évitant les contours trop rectilignes et les formes trop régulières. Laissez de l’espace entre chaque groupe si vous souhaitez y ajouter des bulbes de printemps.
Le myosotis, qui forme un vrai tapis de fleurs, peut se planter sur le bord ou au milieu du massif ; il habille également avec beaucoup d’élégance le pied des lunaires. Quant aux pensées et aux pâquerettes, elles sont davantage mises en valeur quand elles occupent le premier plan. Les espèces plus hautes (lunaire et oeillet de poète notamment) trouveront place à l’arrière. Pour créer une bordure de grand effet, plantez une même variété sur une grande longueur. Les bisannuelles peuvent aussi combler les vides dans les massifs de vivaces, et les plus basses comme les pensées et les pâquerettes sont parfaites pour composer de belles jardinières de printemps.

Planter, tasser et arroser

Pensées Pensées
Ouvrez un trou plus grand que la motte. Vérifiez la profondeur en y plaçant le godet, le haut de la motte doit affleurer. Pour aider les jeunes plants à s’enraciner et à s’étoffer vous pouvez sans crainte supprimer les fleurs épanouies (il est préférable de choisir des plantes peu fleuries). Dépotez la plante en démêlant les racines avec les doigts, mettez en place en étalant les racines, puis refermez le trou avec la terre extraite. La motte doit être recouverte de 2 centimètres de terre environ. Tassez doucement avec les mains et rajoutez éventuellement un peu de terre.
Arrosez au goulot même par temps humide pour faire adhérer la terre aux racines et éviter les poches d’air. Si les pluies ne suffisent pas, arrosez régulièrement, de préférence le matin. Appliquez ce principe de plantation pour les sujets cultivés en jardinière mais prévoyez une couche de matériau drainant (billes d’argile ou tessons de pot) avant d’y mettre le substrat composé d’1/3 de terre et de 2/3 de terreau pour balconnières additionné d’engrais à libération lente.
Stéphane, Gerbaud.com



 A faire ce mois-ci :


Potager

TomatesDerniers moments pour semer du persil.
Evitez le pourrissement des melons et potirons décoratifs en les posant sur un morceau de tuile plat.
Effeuillez pour faire mûrir les dernières tomates.
Les besoins en eau de vos cultures diminuent peu à peu : espacez les arrosages.

 

Arbres fruitiers et petits fruits

Multiplication des fraisiersPlantez des fraisiers, c'est mieux qu'au printemps.
Traitez au cuivre pruniers et cerisiers.
Vous pouvez pratiquer une taille légère sur les arbres à noyaux (pruniers, pêchers, abricotiers...) si celle-ci paraît vraiment nécessaire.



Jardin d'ornement

NarcissesSemez les annuelles "rustiques", comme les pavots de Californie (eschscholtzia), bleuets, nigelles de Damas, pieds d'alouettes et autres vipérines. Elles fleuriront ainsi tôt au printemps prochain.
Récoltez les graines sur les plantes annuelles que vous souhaitez re-semer et stockez-les bien à l'abri de l'humidité.
Les narcisses se plantent en septembre, les tulipes en octobre... Il est temps de songer aux bulbes de printemps!

Plantes d'intérieur

Rempotez et arrosez correctement vos cyclamens Cyclamens en potssi vous voulez encourager leur repousse.
En fin de mois, rentrez les plantes qui ont passé l'été dehors. Réduisez alors les arrosages et les apports d'engrais.

Choisissez les bulbes que vous ferez pousser en intérieur.